Pièces détachées et accessoires moto Ducati Diavel 1200 Strada

L’objectif du constructeur italien était clair : offrir une moto capable d’avaler les kilomètres tout en conservant le caractère unique du Diavel. Assemblée dans les usines de Bologne, cette moto bénéficie d’une finition remarquable et d’un soin du détail qui font la réputation de la marque. Le design du Diavel Strada interpelle immédiatement : lignes musclées, roue arrière de 240 mm, jantes à 14 branches et échappement travaillé, tout est pensé pour attirer les regards. Mais Ducati ne s’est pas contenté de l’esthétique : la Strada reçoit une selle confort inédite, un pare-brise Touring, un guidon rehaussé de 30 mm, des poignées chauffantes et une double selle Tourer. Le passager profite de repose-pieds fixes, d’un dosseret et de valises de 41 litres, idéales pour partir en week-end. L’ergonomie a été revue pour permettre une posture plus droite et détendue, adaptée aux longues étapes. La technologie embarquée n’est pas en reste : ABS, contrôle de traction, démarrage sans clé, instrumentation à double écran, deux prises 12 V, tout est là pour faciliter la vie du pilote. Les motards peuvent également personnaliser leur machine grâce à une sélection d’accessoires et pièces moto adaptés à ce modèle. Le Diavel Strada se distingue ainsi par sa capacité à marier puissance, confort et style, tout en répondant aux attentes des amateurs de voyages et de sensations fortes. Pour mieux comprendre ce qui se cache sous ce look ravageur, découvrons ensemble ses caractéristiques techniques.

 

Le châssis du Ducati repose sur un cadre treillis tubulaire en acier, associé à deux platines en aluminium, garantissant une rigidité optimale et une grande stabilité, même chargé pour le voyage. L’empattement de 1 590 mm et le poids tous pleins faits de 245 kg assurent une présence rassurante sur la route. À l’avant, la fourche inversée de 50 mm de diamètre et 120 mm de débattement, combinée à un freinage Brembo monobloc avec deux disques de 320 mm et étriers radiaux à 4 pistons, offre une précision de conduite et une puissance de freinage dignes d’une sportive. À l’arrière, le mono-amortisseur et la roue de 240 mm de large participent à la signature visuelle et à la motricité du modèle. Le moteur bicylindre en L à 90°, 4 temps, injection Ø 58 mm, refroidissement liquide, développe 1 198 cm³ pour 162 chevaux à 9 500 tr/min et un couple de 12,90 mkg à 8 000 tr/min. Ce bloc Testastretta 11° est reconnu pour sa souplesse à bas régime et sa capacité à délivrer des accélérations impressionnantes. La transmission s’effectue par une boîte à 6 rapports et une chaîne secondaire. Le modèle propose trois cartographies moteur (Sport, Touring, Urban) et un contrôle de traction réglable, pour adapter la puissance à chaque situation. L’équipement de série comprend un pare-brise Touring, une double selle Tourer avec dosseret passager, des poignées chauffantes, des valises de 41 litres, deux prises 12 V, un système de démarrage sans clé et une instrumentation à double écran. L’entretien est espacé, avec des révisions tous les 12 000 km et le réglage des soupapes à 24 000 km. Passons maintenant à l’expérience des motards et à l’usage de ce roadster touring au quotidien.

 

Au guidon de la Ducati Diavel 1200 Strada, les motards découvrent une machine à la fois puissante et confortable, pensée pour les longs trajets comme pour les balades dynamiques. Les avis soulignent l’impression générale de puissance, la capacité à voyager loin et le confort nettement amélioré par rapport à la version standard. La selle confort, le pare-brise Touring et les valises intégrées transforment l’expérience, rendant les étapes à deux bien plus agréables. Le passager profite d’un dosseret, de repose-pieds fixes et d’une assise adaptée, ce qui n’est pas courant sur ce type de roadster. Le moteur séduit par sa souplesse à bas régime et sa force d’accélération, tandis que les trois cartographies moteur et le contrôle de traction permettent d’adapter le comportement à chaque situation. La gestion électronique bien pensée facilite la prise en main, même pour ceux qui ne sont pas familiers avec les gros bicylindres Ducati. Le mode Urban, en particulier, adoucit la réponse de la poignée de gaz en ville, tandis que les modes Touring et Sport révèlent tout le potentiel du Testastretta 11°. Le châssis, bien plus agile qu’il n’y paraît, surprend par sa maniabilité une fois en mouvement, malgré le poids de 245 kg tous pleins faits. Le freinage Brembo, précis et puissant, rassure lors des freinages appuyés, même chargé. Parmi les points faibles, le prix élevé et le budget pneus, notamment pour le large pneu arrière, sont souvent mentionnés. Le rayon de braquage reste limité, ce qui peut compliquer les manœuvres à basse vitesse ou en ville. Le pare-brise offre une protection variable selon la taille du pilote, et la capacité des valises reste limitée pour les longs voyages. Malgré ces détails, la Diavel Strada est perçue comme un roadster touring extrême, polyvalent et attachant, qui permet de partir en week-end à deux sans renoncer au plaisir de pilotage ni au style. Pour les passionnés de sensations et d’aventure, ce modèle reste une valeur sûre.

 

Retrouvez ci-dessous la fiche technique complète.

• Permis requis : Permis A (toutes cylindrées)
• Cylindrée : 1 198 cm³
• Type de moteur : Bicylindre en L à 90°, 4 temps, injection électronique Ø 58 mm, refroidissement liquide, double arbre à cames en tête (2 ACT), distribution desmodromique, 4 soupapes par cylindre (Testastretta 11°)
• Puissance et couple moteur : 162 chevaux (119 kW) à 9 500 tr/min, 12,9 mkg (127 Nm) à 8 000 tr/min
• Poids (vide & plein) : 216 kg à sec, 245 kg tous pleins faits
• Hauteur de selle : 770 mm
• Consommation moyenne : 5,4 l/100 km (en usage mixte)
• Autonomie estimée : environ 310 km
• Capacité réservoir : 17 litres
• Vitesse maximale : 250 km/h
• Type de transmission : Boîte à 6 rapports, secondaire par chaîne
• Freinage : Avant : 2 disques Ø 320 mm, étrier 4 pistons ; arrière : 1 disque Ø 265 mm, étrier 2 pistons, ABS
• Entretien et coût d'usage : Révisions tous les 12 000 km ou 12 mois ; réglage du jeu aux soupapes tous les 24 000 km ; graissage de chaîne tous les 1 000 km recommandé ; coût d’entretien modérément élevé, en lien avec la catégorie premium et la mécanique Ducati